standard et histoire
SAMOYEDE : historique et standard
Le samoyède est une race de chien originaire de Sibérie en Russie. Sélectionnée comme chien de traîneau depuis la nuit des temps par les Samoyèdes, la race est importée en Angleterre à la fin du XIXè siècle. De type spitz, la race est caractérisée par une robe blanc pur à poils longs.
HISTORIQUE
Le samoyède tire son nom de la tribu des Samoyèdes vivant au nord de la Sibérie, il gardait les troupeaux de ces tribus nomades et était utilisé pour la chasse à l’ours. Les Samoyèdes utilisaient des chiens blancs, noirs ou tachetés de marron pour garder les troupeaux de rennes. Au nord, les chiens étaient d’un blanc pur, d’un caractère doux et étaient utilisés comme chiens de traîneau et chiens de chasse. Les chiens ne quittaient pas leur propriétaire et dormaient à l’intérieur des abris où ils servaient de source de chaleur.
En 1889, le zoologiste britannique Ernest Kilburn Scott passe trois mois avec des tribus Samoyèdes. Il ramène en Angleterre Sabaka, un chiot mâle marron, puis fait importer un peu plus tard Withey Petchora, une femelle de couleur crème et Musti, un mâle blanc. Dans les années 1880, d’autres spécimens sont importés par les Anglais pour des expéditions au Pôle Nord. Le premier standard est rédigé en Angleterre en 1909. Le samoyède est utilisé de nos jours pour tirer le traîneau ou la pulka.
À l’origine, il existait en réalité une variété plus importante de robes : noire, pie, crème, biscuit et blanche. Les chiens blancs constituaient une minorité parmi tous ceux-ci. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui encore des taches crème ou même biscuit sur les oreilles ou le corps sont parfois présentes et acceptées. Il n’est d’ailleurs pas rare de trouver un poil noir dans sa fourrure, relique de leurs ancêtres. Ce chien est blanc aujourd’hui car ce sont les chiens les plus blancs que l’on ramena en Europe après les expéditions sibériennes et que l’on sélectionna jusqu’à obtenir le type actuel.
Employée lors des premières expéditions polaires, la race peut résister à des températures extrêmes de –40 °C. La race avait à ses débuts trois types bien distincts :
Aujourd’hui, on s’efforce de croiser les deux derniers types pour obtenir un sujet « parfait » selon les critères du standard, mais il n’est pas encore évident d’obtenir les qualités des deux types.
STANDARD
D’aspect élégant, le samoyède est un spitz de l’Arctique de taille moyenne. Le corps est compact, mais souple. La queue est attachée assez haut, elle est portée en action courbée vers l’avant à partir de la base, sur le dos ou sur le côté. L’expression du visage est caractéristique, c’est ce que l’on appelle le « sourire du samoyède ». La tête est forte, de forme cunéiforme. Les yeux sont en forme d’amande, assez écartés et bien enchâssés dans les orbites. Ils doivent être de couleur brun foncé. Les muqueuses (lèvres, truffe et pourtour des yeux) doivent être noires. Les petites oreilles sont de forme triangulaires, ressées et mobiles.
Le poil doit être bien fourni, lourd, souple et dense. Les seules couleurs de robe admises par le standard sont le blanc pur, crème, blanc et biscuit, la robe la plus connue étant le blanc.
TEMPERAMENT
Le samoyède est décrit dans le standard FCI comme amical, ouvert et éveillé. L’instinct de la chasse est très peu marqué. Il cherche à plaire naturellement à son maître et son tempérament très doux lui fait rechercher la compagnie des enfants. C’est pourquoi le samoyède n’est pas un gardien, au sens protecteur d’une propriété, d’un terrain.
UTILITE
Chien polyvalent par excellence, il s’illustre aussi bien en agilité, en expositions canines, au cani-cross, qu’en attelage à traîneau ou ski-joring l’hiver et kart ou bikejoring l’été (attelage avec un ou deux chiens sur VTT ou trottinette tout-terrain). En règle générale, le Samoyède est doué dans les disciplines dynamiques, qui requièrent une part de mouvement. L’obéissance statique « pure » n’est pas un domaine de prédilection pour cette race nordique, même si un bon renforcement positif pourra développer ses capacités d’écoute.
Pour les sportifs la traction ne devra commencer qu’au delà de douze mois afin d’éviter tout problème de croissance articulaire (problème de hanche par exemple).
HISTORIQUE
Le samoyède tire son nom de la tribu des Samoyèdes vivant au nord de la Sibérie, il gardait les troupeaux de ces tribus nomades et était utilisé pour la chasse à l’ours. Les Samoyèdes utilisaient des chiens blancs, noirs ou tachetés de marron pour garder les troupeaux de rennes. Au nord, les chiens étaient d’un blanc pur, d’un caractère doux et étaient utilisés comme chiens de traîneau et chiens de chasse. Les chiens ne quittaient pas leur propriétaire et dormaient à l’intérieur des abris où ils servaient de source de chaleur.
En 1889, le zoologiste britannique Ernest Kilburn Scott passe trois mois avec des tribus Samoyèdes. Il ramène en Angleterre Sabaka, un chiot mâle marron, puis fait importer un peu plus tard Withey Petchora, une femelle de couleur crème et Musti, un mâle blanc. Dans les années 1880, d’autres spécimens sont importés par les Anglais pour des expéditions au Pôle Nord. Le premier standard est rédigé en Angleterre en 1909. Le samoyède est utilisé de nos jours pour tirer le traîneau ou la pulka.
À l’origine, il existait en réalité une variété plus importante de robes : noire, pie, crème, biscuit et blanche. Les chiens blancs constituaient une minorité parmi tous ceux-ci. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui encore des taches crème ou même biscuit sur les oreilles ou le corps sont parfois présentes et acceptées. Il n’est d’ailleurs pas rare de trouver un poil noir dans sa fourrure, relique de leurs ancêtres. Ce chien est blanc aujourd’hui car ce sont les chiens les plus blancs que l’on ramena en Europe après les expéditions sibériennes et que l’on sélectionna jusqu’à obtenir le type actuel.
Employée lors des premières expéditions polaires, la race peut résister à des températures extrêmes de –40 °C. La race avait à ses débuts trois types bien distincts :
- un type « renard », plus petit, que la tribu samoyède utilisait davantage pour la compagnie des enfants et que l’on écarta dès le début ;
- un type « ours », plus trapu, utilisé à l’origine pour la chasse et qui eut cependant beaucoup de succès au Royaume-Uni fut un temps pour sa belle tête et le « sourire » caractéristique de la race, ainsi que ses petites oreilles;
- un type « loup », plus élancé et musclé, avec une ossature idéale pour le trait. Il eut beaucoup de succès aux États-Unis, même si on lui reprochait d’avoir des oreilles trop grandes.
Aujourd’hui, on s’efforce de croiser les deux derniers types pour obtenir un sujet « parfait » selon les critères du standard, mais il n’est pas encore évident d’obtenir les qualités des deux types.
STANDARD
D’aspect élégant, le samoyède est un spitz de l’Arctique de taille moyenne. Le corps est compact, mais souple. La queue est attachée assez haut, elle est portée en action courbée vers l’avant à partir de la base, sur le dos ou sur le côté. L’expression du visage est caractéristique, c’est ce que l’on appelle le « sourire du samoyède ». La tête est forte, de forme cunéiforme. Les yeux sont en forme d’amande, assez écartés et bien enchâssés dans les orbites. Ils doivent être de couleur brun foncé. Les muqueuses (lèvres, truffe et pourtour des yeux) doivent être noires. Les petites oreilles sont de forme triangulaires, ressées et mobiles.
Le poil doit être bien fourni, lourd, souple et dense. Les seules couleurs de robe admises par le standard sont le blanc pur, crème, blanc et biscuit, la robe la plus connue étant le blanc.
TEMPERAMENT
Le samoyède est décrit dans le standard FCI comme amical, ouvert et éveillé. L’instinct de la chasse est très peu marqué. Il cherche à plaire naturellement à son maître et son tempérament très doux lui fait rechercher la compagnie des enfants. C’est pourquoi le samoyède n’est pas un gardien, au sens protecteur d’une propriété, d’un terrain.
UTILITE
Chien polyvalent par excellence, il s’illustre aussi bien en agilité, en expositions canines, au cani-cross, qu’en attelage à traîneau ou ski-joring l’hiver et kart ou bikejoring l’été (attelage avec un ou deux chiens sur VTT ou trottinette tout-terrain). En règle générale, le Samoyède est doué dans les disciplines dynamiques, qui requièrent une part de mouvement. L’obéissance statique « pure » n’est pas un domaine de prédilection pour cette race nordique, même si un bon renforcement positif pourra développer ses capacités d’écoute.
Pour les sportifs la traction ne devra commencer qu’au delà de douze mois afin d’éviter tout problème de croissance articulaire (problème de hanche par exemple).